
Énergie maximale
de Seb Coupy
2025 | 23 min | Documentaire
Format son : 5.1
Cadre : 16/9
Support de prise de vue : Numérique
Langue des dialogues de la version originale : Français
— synopsis
Bienvenue au cœur de la mêlée, dans le monde artificiel d'un parc de jeux indoor à Aubervilliers : une zone de liberté totale, où le corps s'exprime, où l'excitation monte, où l'énergie se libère comme dans un gigantesque accélérateur de particules.

— ÉQUIPE
scénario et réalisation : Seb Coupy
producteur : 5à7 Films, Helen Olive & Martin Bertier, France
co-producteur : Les Films du Tambour de Soie, Alexandre Cornu, France
soutiens financiers :
Pré-achat Via 93, pré-achat Lyon Capitale TV
Avec la participation du CNC et Images de la diversité
En coproduction avec Les Films du Bilboquet, Cellulo Prod, Macalube Films
Collection Terrain de jeux initiée par Périphérie

scénario original : Seb Coupy
direction de la photographie : Seb Coupy
montage image : Seb Coupy
ingénieur.se du son : Nicolas Joly
montage son : Aymeric Eustache
mixage : Aymeric Eustache
musique originale : Seb Coupy
— PARTENAIRES
Manifest
— FESTIVALS
FESTIVALS :
Festival Côté Court 2025, séance spéciale
— PRESSE
Seb Coupy aurait pu être entomologiste, dessinateur ou photographe, tant il est fasciné par les petites choses qui se déroulent sous ses yeux et par les images toutes catégories. Après des études aux Arts décoratifs de Genève, aux Beaux-Arts de Lyon et à l’atelier d’écriture documentaire de la FEMIS, il réalise une quinzaine de films, parmi lesquels Adèle, sélectionné à Documenta Madrid, Portraits de jours avec caméra sélectionné aux Écrans documentaire, Cartographie primé au festival de Lorquin, LUX un road-movie nocturne au Burkina-Faso, prix découverte de la SCAM en 2014 ou encore L’image qu’on s’en fait, réalisé en 2019 (Journées du film de Soleure, FIFIGROT, DOCfeed, FIFEQ) qui confronte la notion d’identité nationale aux grands panneaux touristiques marrons présents sur le réseau autoroutier français.aurait pu être entomologiste, dessinateur ou photographe, tant il est fasciné par les petites choses qui se déroulent sous ses yeux et par les images toutes catégories. Après des études aux Arts décoratifs de Genève, aux Beaux-Arts de Lyon et à l’atelier d’écriture documentaire de la FEMIS, il réalise une quinzaine de films, parmi lesquels Adèle, sélectionné à Documenta Madrid, Portraits de jours avec caméra sélectionné aux Écrans documentaire, Cartographie primé au festival de Lorquin, LUX un road-movie nocturne au Burkina-Faso, prix découverte de la SCAM en 2014 ou encore L’image qu’on s’en fait, réalisé en 2019 (Journées du film de Soleure, FIFIGROT, DOCfeed, FIFEQ) qui confronte la notion d’identité nationale aux grands panneaux touristiques marrons présents sur le réseau autoroutier français.
Seb
Coupy
